Pendant son mandat à la présidence du Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ) de 2005-2016, M. Lassonde a mené une campagne de financement révolutionnaire qui s’est élevée à 110 millions de dollars. Grâce à son leadership et à ses généreuses contributions, incluant 10 millions de dollars en financement et une valeur de 5 millions de dollars en œuvres d’art, le superbe pavillon Pierre-Lassonde se dresse maintenant en fier témoin de l’art canadien. Ce joyau d’architecture a contribué à revitaliser le MNBAQ, en plus de se mériter plusieurs prix d’excellence du design.

« Il a depuis, confirmé son engagement financier pour favoriser les projets d’avenir du MNBAQ. C’est sans doute là, son engagement le plus spectaculaire en ce qui concerne la ville de Québec, d’autant qu’il aura su entrainer dans son sillage plusieurs acteurs du domaine des finances, lesquels auront à leur tour fait merveille pour le bénéfice d’une de nos grandes institutions culturelles. » – John R. Porter, ancien directeur général du Musée national des beaux-arts du Québec.

À titre de président du Conseil des arts du Canada de 2015 à 2020, M. Lassonde a été à l’origine de transformations notables. Une approche visionnaire et des efforts concertés ont permis au Conseil des arts du Canada de connaître un profond renouveau, en plus de voir son budget doubler pour passer à un remarquable 360 millions de dollars en 2021.

« M. Lassonde a le souci du partage et du bien-être de la collectivité. L’ensemble de ses actions témoigne en outre de la fierté qu’il nourrit à l’égard de la ville de Québec et de son profond attachement pour ses concitoyens. Cette affection s’étend à l’ensemble de la communauté culturelle canadienne, c’est ce qui l’a d’ailleurs mené à contribuer de manière sensible et visible au développement du secteur artistique et culturel du Canada. » – Christiane Germain, présidente du conseil d’administration du MNBAQ

Plus récemment, en juin 2022, la Fondation familiale Pierre Lassonde a annoncé un don visionnaire de 25 millions de dollars à la ville de Toronto pour la création d’un nouveau sentier d’art public au bord de l’eau. Il s’agit du plus important don jamais reçu par la ville dans le domaine des arts. Il comprendra 10 millions de dollars pour commander la création de deux œuvres d’art permanentes, et jusqu’à 15 millions de dollars pour la mise sur pied d’un organisme à but non lucratif qui gérera le sentier artistique, avec l’intention de collecter des fonds de contrepartie supplémentaires pour soutenir l’organisme à long terme.

Les nombreuses contributions de M. Lassonde dans le secteur de l’éducation ont mené à la création de programmes réputés à l’échelle du Canada et des États-Unis. On retient par exemple l’école des beaux-arts Pierre Lassonde School of Fine Arts de l’Université Mount Allison, l’école d’ingénierie Lassonde School of Engineering de l’Université York de Toronto et le programme d’ingénierie Lassonde Mining Engineering de l’Université de Toronto, sans compter les nombreuses bourses d’études attribuées dans des universités canadiennes.

En reconnaissance de ses contributions extraordinaires, il a été fait membre de l’Ordre du Canada en 2002 et promu officier en 2022. Il a également été nommé Grand Officier de l’Ordre national du Québec en 2019.

« Ardent défenseur de la puissance de l’art pour renforcer les connaissances, monsieur Borys a rassemblé une communauté d’artistes, de consultants autochtones, de partenaires et de parties prenantes pour concevoir et réaliser Qaumajuq, un univers où tout le monde est bienvenu et où les histoires de chacun et chacune sont entendues dans un esprit de réconciliation », décrit Catherine Maksymiuk, chef de l’engagement et de l’avancement au Musée des beaux-arts de Winnipeg-Qaumajuq.

Qaumajuq, qui veut dire « c’est brillant, c’est lumineux » en inuktitut, a ouvert ses portes en mars 2021. Le musée abrite la plus importante collection d’art inuit contemporain au monde. Le concept unique de Qaumajuq partage l’espace du Musée des beaux-arts de Winnipeg, pour créer un édifice culturel dynamique de 185 000 pieds carrés en plein cœur du centre-ville de Winnipeg.

En matière de direction, M. Borys préconise une approche centrée sur l’avancement d’un dialogue véritable, pour créer un forum accueillant et inclusif où l’art et la culture se retrouvent au premier plan tant pour les publics que pour les parties prenantes.

« Stephen Borys a orienté le WAG dans une direction audacieuse, en plus d’instaurer de nombreux changements permanents à plusieurs échelons de l’institution », confie Heather Igloliorte, Ph.D., titulaire d’une chaire de recherche de niveau 1 en arts autochtones des régions circumpolaires à l’Université Concordia. « Il maintient un dialogue soutenu et respectueux avec les groupes de consultation autochtones et ensemble, nous réimaginons non seulement l’aspect physique du musée, mais aussi la manière d’entreposer et de montrer la collection. De plus, la gouvernance de l’institution en soi est aussi repensée : sa mission, les pratiques d’embauche, le personnel, et les façons d’améliorer l’éducation au musée pour tous les publics. »

Inspiré pour réinventer le modèle du musée pour le 21e siècle, M. Borys perçoit la fonction et l’objectif du « nouveau musée » dans un cadre qui dépasse amplement sa structure physique, où l’accent est placé sur le dialogue, l’exploration, l’appartenance et la réconciliation – utilisant les arts à toutes les étapes du processus et faire une différence pour le mieux-être de la communauté.

En plus de son travail au Musée des beaux-arts de Winnipeg-Qaumajuq, M. Borys est professeur adjoint aux départements d’administration des affaires et d’études culturelles de l’Université de Winnipeg. Il est actif à titre bénévole sur des comités artistiques et culturels de la scène nationale et internationale, incluant un mandat à la présidence de l’Organisation des directeurs des musées d’art du Canada (ODMAC), ainsi qu’à la direction du conseil d’administration de l’Association des musées canadiens (AMC) et de l’Association of ArtMuseum Directors (AAMD). Notamment, il a joué un rôle crucial dans la réponse de l’Association des musées canadiens à l’appel à l’action 67 de la Commission de vérité et de réconciliation et a coprésidé le conseil sur la réconciliation l’AMC.

« Plusieurs raisons ont motivé l’invitation lancée à Owais de joindre la faculté : la passion et l’énergie qu’il consacre aux arts, sa capacité d’envisager un paysage changé et radical pour Performance, et sa capacité de se glisser dans cet univers de changement », affirme Caroline O’Brien, Ph.D., professeur adjointe et présidente, Performance at The Creative School.

« Trop souvent, le moteur de changement passe inaperçu », confie Weyni Mengesha, directrice artistique, Soulpepper Theatre Company. « Owais a toujours été, et continue d’être, un vecteur de changement positif incroyable dans notre secteur. Je sais que la carrière de beaucoup d’artistes a été lancée grâce au dévouement qu’il accorde au travail de représentation et aux programmes qu’il a créés. »

Il est cofondateur et directeur général de Sai, une startup technologique qui s’efforce de révolutionner la façon dont les créateurs gèrent leur argent. Auparavant, il a passé huit ans à la direction exécutive de Why Not Theatre. Pendant son mandat, il a codirigé la création d’une des plus dynamiques organismes artistiques du Canada et a produit des projets révolutionnaires tels que RISER et The Mahabharata.

M. Lightwala offre également des services de consultation stratégique à bon nombre d’organismes artistiques notamment le Centre national des Arts, le Conseil des Arts du Canada et Patrimoine canadien. Il a siégé sur de nombreux conseils d’organismes à but non lucratif, incluant TO Live, Mobilisation culturelle, AMY Project et Art Ignite.

Power Corporation supporte des organismes qui contribuent à créer des communautés dynamiques, compatissantes et durables. L’entreprise croit que cette démarche est crucial pour la croissance et la prospérité des citoyens comme celles des entreprises. Sa mission philanthropique vise à faire du Canada un endroit meilleur, ce qui comprend l’appui accordé aux arts à Montréal et au Québec, où sont situés ses sièges sociaux, et l’appui conféré à des organismes et à des projets qui ont un impact à l’échelle du Canada.

Son soutien s’étend à des organismes de premier plan, comme le Musée des beaux-arts de Montréal, le Musée d’art contemporain de Montréal, le Musée national des beaux-arts du Québec, le Musée canadien du canot, Théâtre Duceppe, Culture pour tous!, le Musée des beaux-arts de Winnipeg-Qaumajuq, le Théâtre du Nouveau-Monde, Kenojuak Cultural Centre, le Musée des beaux-arts de l’Ontario, le Conseil des arts de Montréal, Inuit Arts Foundation, le Centre canadien d’architecture, le National Music Centre, le programme Imaginez le Canada du  Centre national pour la vérité et la réconciliation, et bien d’autres.

Depuis des décennies, Power Corporation a contribué à la vitalité des communautés francophones au Canada et appuyé des activités artistiques dans les deux langues officielles. On pense par exemple aux bourses d’études accordées aux étudiants de l’École nationale de théâtre du Canada depuis 1993, à l’appui conféré à l’Orchestre symphonique de Montréal depuis plus de 40 ans, et à son partenariat avec le Centre national des arts à titre de principal soutien du Théâtre français du CNA, où elle a aussi été premier partenaire corporatif de la campagne du Fonds national de création.

Grâce à ces partenariats percutants et à bien d’autres encore, Power Corporation a fait montre d’un engagement durable à bâtir un secteur artistique dynamique et durable, en donnant aux artistes canadiens les moyens de briller sur la scène nationale et internationale. Elle personnifie
tout à fait le concept de vraie entreprise championne des arts.

The VR Voyage Classroom offre aux élèves la possibilité d’explorer des musées, galeries, centres des sciences et sites patrimoniaux par la voie d’expériences d’apprentissage immersives, peu importe où ils se trouvent. Cette plateforme met à la disposition des enseignants et enseignantes une diffusion en connexion transparente vers des organismes culturels, pour accéder à des ressources et à des programmations de formation artistique autant en virtuel qu’en personnel.

Mis au point en consultation avec plus de 40 organismes, incluant des institutions patrimoniales et culturelles, des musées autochtones, des enseignant(e)s et des districts scolaires de C.-B., The VR Voyage Classroom approfondit non seulement l’expérience éducationnelle, mais il crée
aussi des sources de revenus additionnelles pour soutenir la durabilité financière des organismes participants. En dirigeant 85 % de toutes les ventes vers ces organismes cultures et patrimoniaux, on peut s’attendre à ce que le partenariat s’étende à plus de 500 organismes et injecte plus de 500 000 dollars annuellement dans le secteur culturel britanno-colombien d’ici 2025.

Le partenariat qui unit Forager Education et BCMA est le reflet d’un engagement partagé visant à enrichir le secteur culturel de la Colombie-Britannique. Forager Education apporte une expertise dans les domaines de l’éducation, de la technologie et du marketing, alors que BCMA partage son vaste réseau d’institutions culturelles et sa profonde compréhension du paysage culturel local. Ensemble, ils offrent une solution complète dont l’objectif est de promouvoir un environnement d’apprentissage inclusif et dynamique au bénéfice des élèves comme des organismes culturels.