Ardents défenseurs de la culture au Canada depuis des décennies, Laura et Richard apportent un soutien financier généreux et un leadership réfléchi à bon nombre d’institutions, incluant le Festival de Stratford, le Ballet national du Canada, le Musée des beaux-arts de l’Ontario, le Gardiner Museum, le Tarragon Theatre et d’autres encore.

Leur engagement envers le Festival de Stratford couvre plus de deux décennies. Richard a servi à deux reprises au Conseil des gouverneurs, offrant douze années de gouvernance ancrées dans une solide croyance en l’importance de présenter Shakespeare aux jeunes. Ensemble, ils ont encouragé et soutenu chaque initiative d’importance survenue à Stratford au cours des vingt dernières années, que l’on pense à l’éducation artistique, à la mise en œuvre de nouvelles pièces de théâtre, à l’innovation numérique, à la planification stratégique ou à des projets d’investissement.

« Richard et Laura se sont toujours préoccupés de la santé à long terme du Festival. L’importance que revêt la mission du Festival pour eux et l’investissement personnel qu’ils apportent aux artistes, au personnel et aux bénévoles sont exceptionnels », confie Antoni Cimolino, directeur artistique du Festival de Stratford.

L’appui accordé par Laura et Richard au Ballet national du Canada recouvre des besoins en matière d’opérations et des projets spéciaux. À titre de membres du Cercle des producteurs et des Souscripteurs de la production, ils continuent d’investir dans de nouvelles productions audacieuses et dans le processus créatif qui leur permet de voir le jour. Laura siège également au Conseil de direction et comme présidente du comité de développement.

« Leurs dons témoignent non seulement d’une grande générosité, mais aussi de leur conviction en l’importance de maintenir une vie culturelle florissante au Canada, inspirant, ce faisant, une plus vaste communauté de donateurs », souligne Karen Kain, directrice artistique émérite, Ballet national du Canada.

Guidé par un engagement profond envers l’excellence et l’accès aux arts, le dévouement de Laura Dinner et Richard Rooney a élevé les arts au Canada et ouvert la voie à un héritage de leadership, de générosité et d’impact.

Animé d’un engagement profond envers les artistes canadiens, Christopher Deacon a soutenu leur croissance sur des scènes nationales et internationales, tout en maintenant le rôle vital et inclusif du CNA à titre d’institution culturelle pour tous et toutes.

Le CNA a franchi des étapes déterminantes sous la direction de Christopher Deacon, président et chef de la direction depuis 2018. Le Fonds national de création a investi plus de 15 millions de dollars dans 100 productions canadiennes ambitieuses, dont Salesman in China, Mahabharata et Empire of Wild. Pendant son mandat, le Théâtre autochtone du CNA a lancé sa toute première saison, et l’Orchestre du CNA a élargi son rayonnement international avec des enregistrements majeurs et des tournées d’envergure. Christopher Deacon a également dirigé deux plans stratégiques centrés sur le soutien au secteur des arts de la scène et sur l’engagement du public, en plus de participer au lancement de la campagne de 100 millions de dollars de la Fondation du CNA pour soutenir la reprise postpandémie. Ardent défenseur de la philanthropie, il continue de bâtir un support essentiel pour soutenir l’impact et la résilience à long terme du CNA.

« La vision, le soutien et l’ouverture de Christopher auront permis à bien des rêves de devenir réalité, les nôtres comme ceux des artistes que nous servons », soutiennent Ravi Jain et Miriam Fernandes, codirecteurs artistiques de Why Not Theatre.

« Le mandat de Christopher sera marqué par une profonde confiance placée dans les artistes, par un engagement audacieux envers l’équité et par une détermination à s’assurer que les portes du CNA sont ouvertes à tous les Canadiens et Canadiennes », ont indiqué Susan Glass, présidente de la Fondation du CNA, et Guy Pratte, président du conseil d’administration.

L’impact de Christopher Deacon va bien au-delà de tout programme ou projet. Son héritage est un CNA plus solide, inclusif et audacieux, et un secteur artistique canadien doté d’outils nécessaires pour accueillir l’avenir. Son mandat à titre de président et chef de la direction du CNA prendra fin en décembre 2025.

Dans son rôle de directeur général de Small World Music, Umair a redéfini l’objectif de l’organisme, renforcé ses opérations, étendu sa portée et accordé une priorité à l’inclusion. Par la voie de partenariats stratégiques et d’une programmation innovatrice, Small World Music soutient maintenant plus de 1 700 artistes annuellement, et plus de 90 % d’entre eux proviennent de communautés sous-représentées. Il faut aussi souligner le lancement du seul incubateur à musique au Canada consacré à des réfugiés, des nouveaux arrivants et des talents du PANDC.

« Umair a non seulement stabilisé l’organisme, mais il lui a ouvert de nouveaux horizons en faisant montre d’une acuité financière remarquable et de pensée stratégique. Sous son leadership, notre équipe et notre budget ont grandi, et notre programmation contribue à un portrait culturel plus riche et inclusif », a affirmé Ayesha Chatterjee, présidente du conseil d’administration de Small World Music.

Son bénévolat et son engagement envers les arts sont ressentis à l’échelle du secteur. Il a aidé, notamment, à orienter l’évolution de Musique Folk de l’Ontario pour devenir un organisme national, Folk Music Canada, où il siège à titre de trésorier. Il met aussi son expertise au service de CAPACOA, des prix JUNO, de l’École de création de l’Université métropolitaine de Toronto et du programme de musique de Humber Polytechnic, où il contribue à former et inspirer la prochaine génération de leaders culturels.

« Ce que j’admire le plus chez Umair, c’est son engagement indéfectible à bâtir des ponts entre des communautés, entre des frontières culturelles et à l’intérieur du secteur des arts lui-même. Son travail crée un espace pour des voix sous-représentées tout en offrant un exemple éloquent de leadership et d’innovation », a indiqué Owais Lightwala, professeur adjoint de l’Université métropolitaine de Toronto.

Ses partenariats communautaires sont présents partout au Canada, avec un soutien apporté à des organismes tels qu’Arts Umbrella, l’Audain Art Museum, Bard on the Beach, le Ballet national du Canada, la Vancouver Art Gallery et l’Orchestre symphonique de Vancouver. Loin de se limiter à des contributions financières, l’engagement de Nicola Wealth comprend aussi le bénévolat et les commandites, le tout fondé sur la confiance, la collaboration et des partenariats durables.

Chez Arts Umbrella, l’impact de Nicola Wealth a été extraordinaire, soutenant l’octroi de bourses d’études, des programmes éducatifs et des campagnes majeures de collecte de fonds.

« Nicola Wealth est l’incarnation même d’un véritable partenaire », affirme Paul Larocque, président et directeur général d’Arts Umbrella. « Leur approche philanthropique fondée sur la confiance nous permet de faire des plans audacieux. Leur engagement et leur générosité ont directement profité à des milliers d’enfants et de jeunes ayant besoin d’un accès à une éducation artistique dans toute la région métropolitaine de Vancouver et au-delà. »

Depuis 2021, Nicola Wealth est le commanditaire principal d’une production majeure sur la scène du Ballet national du Canada chaque saison. L’entreprise soutient également l’engagement des donateurs en organisant des séminaires sur la planification successorale.

« Nicola Wealth est un partenaire généreux et réfléchi », souligne Raghunath Davloor, président du conseil d’administration du Ballet national du Canada. « Leur soutien va au-delà de la scène en élargissant l’accès aux arts. »

Par ses partenariats, Nicola Wealth incarne une compréhension profonde des bénéfices sociaux apportés par les arts, ainsi que de la richesse d’opportunités qui émerge lorsque l’on investit dans la culture.

Le concept de cet espace repose sur des opinions glanées auprès de résidents locaux. Le lieu permet aux membres de la communauté de vivre une expérience artistique, de consolider des réseaux sociaux et d’apprendre. Cloverdale Common a accueilli plus de 15 000 membres de la communauté et soutenu plus de 200 artistes locaux. Il est devenu un véritable carrefour culturel et communautaire dans le quartier; on y trouve des cours d’arts gratuits, des expositions, des ateliers et des événements sociaux. Il sert également de lieu de présentation de programmation, en plus d’être l’hôte d’organismes locaux, incluant Workman Arts, Muslims in Public Space et ESS Support Services.

Ce partenariat constructif procure un modèle pouvant inspirer d’autres organismes artistiques et développeurs à travailler ensemble pour soutenir des communautés locales et assurer l’épanouissement et le dynamisme d’une ville, sous le signe des arts, de la culture et des liens qui nous unissent.

« La grande particularité de Cloverdale Common est son caractère rassembleur. On y voit des artistes, des nouveaux arrivants, des personnes âgées et des familles. Grâce à l’appui de QuadReal, nous avons créé un lieu qui reflète réellement le cœur de notre communauté et son esprit de création. » – Wendy Rading, directrice générale, Arts Etobicoke

« L’appui accordé à Cloverdale Common vise à bâtir des relations et créer une valeur à long terme pour la communauté. Nous sommes fiers de travailler avec Arts Etobicoke pour que les arts et la culture demeurent au cœur de ce quartier remarquable. » – Aaron Knight, premier vice-président au développement, QuadReal Property Group